Recherche documentaire
La Fondation Médéric Alzheimer diffuse chaque mois une revue de presse nationale et internationale, 100 % digitale. L’équipe vous propose une sélection d’articles incontournables pour accéder à l’essentiel de l’information en un clic.
C’est une veille à 360 °qui s’intéresse aux personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et à leurs aidants, qu’ils soient familiaux, bénévoles ou professionnels mais aussi à l’environnement médical, social, juridique, politique et économique de la maladie.
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23 octobre 2014
Incontinence à domicile
« Une personne atteinte de démence court plus de risques d’avoir des « accidents », des difficultés pour aller aux toilettes ou une incontinence qu’une personne du même âge sans troubles cognitifs. Les raisons sont multiples : la personne n’est pas capable de réagir suffisamment vite à la sensation de besoin d’aller aux toilettes ; elle peut ne pas y aller à temps parce qu’elle…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Confort olfactif
« L’odeur suscite chez les individus des sensations qui vont de la gêne au bien-être, en passant par le confort olfactif », écrit Julie Bouchara, directrice des projets et du développement du groupe CMC Ambroise-Paré à Neuilly-sur-Seine. « C’est d’ailleurs sur ce dernier que le travail de réminiscence s’effectue en gériatrie. Bien souvent, au travers d’ateliers, il s’agit de proposer des odeurs primaires…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Les services de conseil mémoire britanniques
L’équipe d’Anthea Innes, directrice de l’Institut de la démence à l’Université de Bournemouth (Royaume-Uni), a été missionnée par les autorités de santé pour évaluer deux services de conseil mémoire (memory advisory services) du sud de l’Angleterre, des plateformes de soutien et d’accompagnement pour les personnes atteintes de démence vivant à domicile, et leurs aidants. Ces dispositifs, aussi appelés services de…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Apprendre à faire face
Un essai clinique contrôlé et randomisé, mené par le Pr Gill Livingston, de l’unité de santé mentale de l’University College de Londres, auprès de deux cent soixante aidants de personnes atteintes de démence, évalue l’efficacité d’une formation individuelle des aidants par des doctorants en psychologie. Par rapport au groupe témoin, les chercheurs observent chez les aidants ayant bénéficié de l’intervention…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Haltes-répit détente Alzheimer : quel impact social sur les personnes malades ?
Il y a huit ans, naissait à Châlons-en-Champagne (Marne), la première Halte-répit détente Alzheimer de la Croix-Rouge française. Aujourd’hui, l’association compte vingt-et-une structures actives de ce type et quarante en projet. « Les Haltes-répit détente Alzheimer interviennent en complément des structures spécialisées », précise la Croix-rouge française : il s’agit de lieux d’accueil non médicalisés, ouverts une à deux demi-journées par semaine,…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Haltes-répit détente Alzheimer : quel impact social sur les aidants ? (1)
Chez les aidants, les difficultés les plus fréquentes sont la peur pour l’avenir du proche atteint de la maladie d’Alzheimer, la charge ressentie et le sentiment de ne plus reconnaître son proche. Les difficultés dans la vie familiale et la vie personnelle concernent 81% des aidants. 78% ont besoin d’être davantage aidés et un retentissement de la situation sur leur…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Haltes-répit détente Alzheimer : quel impact social sur les aidants ? (2)
Les experts de la Croix-Rouge française distinguent quatre groupes d’aidants. Les« alarmistes » présentent un épuisement objectif modéré à sévère (mini-Zarit >4) et un discours centré sur les conséquences négatives du vécu d’aidant (« Il m’arrive de crier la nuit. Je me réveille à trois heures et je crie. Je ne peux plus pleurer. J’éclate. Je n’en peux plus. J’ai des soucis pour…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Haltes-répit détente Alzheimer : quel impact social sur les bénévoles ?
Les bénévoles de la Croix-Rouge française intervenant dans les Haltes-répit détente Alzheimer sont majoritairement des retraités, mais 19% ont entre quarante-cinq et cinquante-neuf ans, et 7% ont moins de trente ans. La mixité générationnelle des équipes est appréciée. Des initiatives innovantes ont parfois été mises en place : des stages de reconversion professionnelle de demandeurs d’emploi en Halte-répit détente Alzheimer ont ainsi…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Haltes-répit détente Alzheimer : quel impact social pour les partenaires ?
Depuis leur création en 2006, les Haltes-répit détente Alzheimer œuvrent au niveau local avec un réseau de partenaires : les mutuelles interprofessionnelles MUTEX [Adréa Mutuelle, Apréva, Chorum, Eovi-MCD mutuelle, Harmonie mutuelle, Ociane, Mutex Union], des centres communaux d’action sociale, des associations, des centres locaux d’information et de coordination, des MAIA (maisons pour l’autonomie et l’intégration des malades Alzheimer), des associations locales…- Interventions non médicamenteuses
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23 octobre 2014
Petites unités de vie : à quel coût ?
En Allemagne, les petites unités de vie Alzheimer (Ambulant betreute Demenz-Wohngemeinschaften ; dementia residential communities) se sont installées dans les années 1980 comme alternative à l’hébergement en maison de retraite. Il en existe aujourd’hui plus de trois cents, portées par cent cinquante organisations. Le Centre allemand des maladies neurodégénératives (DZNE) a mené une enquête dans quatre-vingt-huit de ces structures, où vivent…- Interventions non médicamenteuses