The Genius of Marian, de Banker White et Anna Fitch
Société inclusive
Pam White apprend à l’âge de soixante-et-un ans qu’elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Pour elle et son entourage, la vie commence à changer, lentement mais irrévocablement. Son mari doit endosser un rôle d’aidant. Ses enfants apprennent à montrer leur amour et leur soutien tout en anticipant la lente perte de leur mère. Lorsque Pam devient incapable d’écrire, Banker, son fils aîné, commence à enregistrer les conversations, en permettant à sa mère de partager des souvenirs d’enfance et de sa propre mère, le peintre Marian Williams Steele, décédée avec une maladie d’Alzheimer en 2001. Le documentaire a été récompensé par plusieurs prix en 2013, aux festivals de Camden, Heartland, Washington West, Woods Hole. Il vient d’être projeté au Musée des Beaux-Arts de Boston. Il a également été primé par la Fondation Rosalinde et Arthur Gilbert, décerné par le Centre national des aidants. « Bien que ce film soit souvent brutalement franc, et on peut le comprendre, il essaie peut-être trop de mettre en avant le positif », écrit Peter Keough, du Boston Globe. Les enfants semblent cacher la possibilité d’un risque génétique. « Si le film avait évoqué un peu plus de noirceur, il aurait atteint au génie, mais peut-être aux dépens de la compassion et de l’humanité. »
www.alzpoetry.com/, http://geniusofmarian.com/about-gom, 12 février 2013.
www.bostonglobe.com/arts/movies/2014/01/21/alzheimer-documentary-comes-close-genius/N7Wp1q3IlxTumho64tZfhP/story.html, 21 janvier 2014.
http://filmmakermagazine.com/68882-five-questions-for-the-genius-of-marian-directors-banker-white-and-anna-fitch/#.UvthuWJ5OAQ, 18 avril 2013.