Restons groupés
Échos d'ailleurs
Pour les Professeurs Alex Haslam, de l’école de psychologie de l’Université d’Exeter (Royaume-Uni), et Jolanda Jetten, de l’Université de Queensland (Australie), l’espèce humaine vit et a évolué pour vivre en groupes sociaux. Ils passent en revue, pour le grand public, plusieurs études montrant l’importance de l’intervention de groupe en réhabilitation cognitive, notamment pour des personnes ayant eu un accident vasculaire cérébral ou souffrant de la maladie d’Alzheimer, et de l’importance du groupe sur l’identité sociale et le bien-être des personnes malades.
Dans l’Indian Journal of Psychiatry, JA Pillai et J Verghese, du service de neurologie de l’Albert Einstein College of Medicine (New York, Etats-Unis) proposent une revue de la littérature publiée ces dix dernières années explorant l’effet protecteur du réseau social sur la progression de la démence, et sur l’intérêt de développer ces approches tant en Inde que dans les sociétés occidentales.
www.exeter.ac.uk, 15 septembre 2009. Scientific American. Jetten J et al. Groups as therapy? Socializing and mental health. Septembre 2009.