Nous étions les hommes, de Gilles Legardinier
Société inclusive
« Dans le plus grand hôpital d’Édimbourg (Ecosse), le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Avec une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert l’une des clefs de ce mal qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. Leurs conclusions sont aussi perturbantes qu’effrayantes : si ce fléau l’emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra. C’est le début d’une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux. Partout sur la Terre, face au plus grand danger que notre espèce ait connu, face à ceux qui veulent contrôler le monde et les vies, l’ultime course contre la montre a commencé… », présente l’éditeur. « Un nouveau thriller que l’on nous souffle comme humaniste », écrit Michael Espinosa, sur www.yozone.fr. « L’ambiance angoissante est plutôt bien amenée, avec un suspense, mais c’est l’une des astuces de ce genre de roman, qui se prend au jeu de découverte des dessous du cerveau et de sa déliquescence inévitable » : « tous ces changements de direction, agrémentés de lieux communs philosophiques, perdent plus le lecteur dans un labyrinthe dont on ne comprend plus très bien le but ».
Legardinier G. Nous étions les hommes. Fleuve noir. Janvier 2011. 428 p. ISBN 978-2-265-08910-5. www.fleuvenoir.fr, www.yozone.fr, 11 avril 2011.