My Unseen Disappearing World, de Kate Swaffer (2)

Société inclusive

Date de rédaction :
16 mars 2012

« Rire, danse, tragédie, tristesse, humour, trous de mémoire, partie de carte en solitaire, chagrin, larmes, choc, humiliation, stigmatisation, secrets que l’on garde, audace, combat (engagement) et inspiration : un spectacle poignant, où l’on se tord de rire et qui change la vie, avec une musique qui brûle votre âme », écrit le théâtre.  Le spectacle est présenté au profit d’un projet intitulé The Good, the Bad and the Brilliant (le bon, la brute et le génial), soutenu par le programme de répit de proximité du ministère de la Santé et du vieillissement, visant à promouvoir des images positives du vieillissement, une meilleure sensibilisation à la démence et une réduction de la stigmatisation des personnes malades, qui deviennent des acteurs. Le projet les encourage, ainsi que leurs aidants, à raconter leur histoire de vie, et à partager leur façon de vivre chez, à travers plusieurs thèmes : l’importance du domicile, le renforcement de l’amour inconditionnel et de l’engagement entre l’aidant et la personne malade, l’espoir d’une vie après le diagnostic, et la relation à la vie. Un recueil d’histoires sera publié.

Richard Taylor « soutient chaleureusement » cette initiative : « pour moi aussi, parler et écrire sur les symptômes de la démence a été plus qu’utile. Cela m’a permis de savoir ce que je voulais dans ma vie. Je pense que c’est pourquoi j’ai relativement réussi à escamoter (cover up) mes symptômes. Cela me donne l’énergie, la concentration, le défi et une raison profonde d’ouvrir mes yeux et me lever de mon lit chaque matin. Essayez donc ! »