La force du récit

Société inclusive

Date de rédaction :
15 février 2013

Liz Young, psychologue clinicienne, Joanna Howard, bénévole et Kate Keetch, psychologue à la clinique Dunsbury Way de Havant-(Royaume-Uni), expliquent, chacune avec sa perspective, l’intérêt du récit de l’histoire de vie dans la stimulation mentale des personnes atteintes de démence, la remise en contact (reconnection) avec leur identité et leur bien-être émotionnel.

Le récit peut également être utilisé au plan politique pour la défense des droits des personnes malades. Jane Kendall, responsable du réseau Dementia Advocacy, explique comment elle a travaillé avec ses équipes pour identifier seize situations types, qui ont été ensuite présentées sous forme de courts récits (storytelling) mettant en avant l’intervention du bénévole défenseur des droits et les résultats pour la personne malade.

Young L, Howard J et Keetch K. “Once you start writing, you remember more”. J Dementia Care 2013; 21(2): 20-22. Mars-avril 2013. Kendall J. Taking their side; the power of storytelling. J Dementia Care 2013; 21(1): 23-25. Janvier-février 2013. Dementia Advocacy Network, Advocacy Plus. Taking their side: fighting their corner – 16 stories demonstrating the difference independent advocacy makes to the lives of people with dementia. 2012.

http://dan.advocacyplus.org.uk/data/files/Taking_their_side/FINAL_COPY_TAKING_THEIR_SIDE_MARCH_2012.pdf(texte intégral).