Garder l’espoir Juillet 2010

Société inclusive

Date de rédaction :
01 juillet 2010

Farzad Murshed, bénévole à la Société Alzheimer du Bangladesh, dont le grand-père est mort atteint de la maladie d’Alzheimer, écrit : « Nous, famille et amis, ne devons pas abandonner l’espoir un seul instant. Pour l’instant, c’est le seul traitement que nous devons utiliser ». Christine Bryden, atteinte de la maladie d’Alzheimer à l’âge de quarante-six ans, et à qui le neurologue avait prédit qu’elle allait mourir dans les cinq à huit ans, a écrit un livre en 1998 sur sa peur de mourir avec sa démence (Who will I be when I die – qui serai-je quand je mourrai ?  Harper Collins) En 2010, elle est toujours là et déclare à la conférence internationale d’Alzheimer’s Disease International : « tout ce que je peux dire après autant d’années comme survivante de cette chevauchée cahotique avec la démence, c’est qu’il ne faut pas abandonner l’espoir. Profitez des moments de clarté, gérez vos niveaux d’énergie, chérissez votre famille qui prend soin de vous, et restez engagés dans la vie ».

Alzheimer’s Disease International. Global Perspective. Juin 2010.