Banque de fluides

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Date de rédaction :
16 juillet 2013

« Les banques de cerveaux et les programmes scientifiques associés ont permis d’identifier et caractériser les dépôts dans le système nerveux central pour définir de nouvelles maladies, décrire les différents stades de progression et établir des corrélations entre les modifications neuropathologiques et les manifestations cliniques », écrit un collectif de neurologues mené par John Trojanowski, du centre de recherche sur les maladies neurodégénératives à l’Université de Pennsylvanie (Etats-Unis). Les banques biologiques ont évolué pour stocker des fluides biologiques et des échantillons d’ADN (acide désoxyribonucléique, support de l’information génétique) et d’ARN (acide ribonucléique, support de l’information pour la synthèse des protéines, intervenant dans la régulation génétique). Le recueil d’échantillons doit être organisé de façon standardisée et l’échange d’information entre équipes scientifiques du réseau repose sur le développement d’une banque de données partagée.

Toledo JB et al. A platform for discovery: The University of Pennsylvania Integrated Neurodegenerative Disease Biobank. Alzheimer & Dementia, 24 août 2013. www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1552526013024679.