+0.5% : c’est la progression des remboursements de soins dispensés en ville sur les onze premiers mois de 2012, une évolution particulièrement...
Chiffre du mois
Deux gros postes de dépenses sont en net recul : d’une part les médicaments délivrés en pharmacie (-1.5%), avec le double impact des baisses de prix et un vif rebond des génériques, vendus 60% moins cher que les produits de marque ; d’autre part, les indemnités journalières versées aux salariés en arrêt de travail (-1.6%). Les honoraires des médecins et des dentistes sont à l’arrêt. « Le coup de frein est net, et il ne s’explique pas seulement pas des baisses de prix. Les volumes de soins de ville n’ont augmenté que de 2,8 % au cours des trois premiers trimestres, 1 point de moins que la moyenne des cinq dernières années », rappellent Les Échos.
www.lesechos.fr, 8 janvier 2013.