La mouche, modèle animal Mai 2009
Recherche
En connaissant mieux les connexions neuronales, on peut mieux comprendre les maladies neurodégénératives. La drosophile (mouche du vinaigre) est l’un des êtres vivants les mieux connus, et certaines étapes de son développement embryonnaire, codées par des gènes dits « architectes » existent aussi chez des espèces plus évoluées. Florence Besse, une jeune chercheuse de l’Université de Nice Sophia-Antipolis, vient de recevoir trois cent mille dollars (deux-cent-vingt mille euros) de Human Frontier Science Program (HFSP), une organisation qui encourage la recherche et favorise la mobilité des chercheurs, pour créer un laboratoire d’étude des circuits neuronaux chez la drosophile.
www.nicematin.com , 9 mai 2009.