Adèle et Kamel, de Vincent Monnet

Kamel (Aymen Saïdi), un gamin des rues en danger, se fait arrêter pour un vol de scooter. On lui laisse le choix : soit la prison, soit une peine d’intérêt général. Il préfère éviter la prison, pensant que la seconde alternative n’est qu’une formalité. Il s’agit de s’occuper d’une vieille dame, Adèle (Nadine Alari), atteinte de la maladie d’Alzheimer, et que son fils souhaite institutionnaliser. Kamel, d’abord hostile et rétif, déploie bientôt des trésors d’inventivité pour empêcher l’inéluctable. « En s’apprivoisant l’un et l’autre, Adèle et Kamel ne tardent pas à partager des moments de grâce et de joie inoubliables », écrit Le Nouvel Observateur. Le film a été diffusé sur France Ô le 11 décembre à 14 h 25.

http://teleobs.nouvelobs.com, 2 décembre 2010.