Vidéosurveillance

Société inclusive

Date de rédaction :
18 juillet 2012

Jean Cometti, quatre-vingt-huit ans, est atteint de la maladie d’Alzheimer. Il vit seul dans un logement équipé d’un système de vidéosurveillance qui le filme vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Qu’en pense-t-il ? « Pour moi, c’est utile. Quant aux enfants, ils savent s’il arrive quelque chose ». La caméra détecte les mouvements suspects et alerte une opératrice qui vérifie aussitôt si la personne est en danger.