Ne m’oublie pas, de David Sieveking (2)

Société inclusive

Date de rédaction :
16 juin 2013

« Actifs dans le mouvement estudiantin de mai 1968, les parents de David avaient une relation de couple libre. Celle-ci est maintenant mise à rude épreuve par la maladie. Les changements chez la mère obligent les membres de la famille à régler leurs conflits et à trouver une nouvelle manière d’être ensemble, plus chaleureuse. Pleine d’humour et de franchise, la chronique de Sieveking se distingue par le naturel des protagonistes et par un regard tendre, plein de sympathie. C’est l’humain qui est au centre, bien plus que la maladie ». L’Institut Goethe écrit : « le film réussit à préserver l’équilibre délicat entre émotions personnelles et distance artistique. Ainsi, une histoire très privée devient un récit universel sur la maladie, la mort, l’amour et la responsabilité. » La distributrice Bich-Quân Tran pense que « ce film peut offrir une vision réellement apaisée de la maladie et sensibiliser le public sans l’effrayer, tout en mettant à sa disposition des supports et outils pédagogiques pour mieux appréhender la maladie »