Diagnostic précoce : qu’en disent les proches ?
Société inclusive
Catherine Ollivet, présidente de France Alzheimer 93, coordonnatrice du groupe de réflexion Éthique et société – vieillesse et vulnérabilités à l’Espace éthique/AP-HP, écrit : « Quand les impressions floues prennent corps et consistance, que l’intuition criante d’une vie partagée au quotidien vous assaille d’une pensée devenue incontournable : “il se passe quelque chose et je crois savoir ce que c’est…”, chacun d’entre nous réagit d’une façon particulière, en lien avec son caractère, son histoire de vie personnelle et son histoire de lien avec ce proche, sujet de toutes les inquiétudes. Peut-être faut-il que la torture du doute devienne plus insupportable que celle de l’inquiétude pour passer le pas d’une démarche diagnostique ? Et le point de déséquilibre entre ces deux violences est propre à chacun d’entre nous”.