Fin de vie : la décision collégiale

Acteurs de l'écosystème Alzheimer

Date de rédaction :
16 juin 2013

Le CCNE recommande : en cas d’arrêt des traitements, « la procédure collégiale doit s’ouvrir systématiquement à la personne malade (avec l’attention et les précautions que peuvent exiger les particularismes culturels et psychologiques), même si l’expression de sa volonté est altérée du fait de sa condition, ou à défaut à sa personne de confiance, à sa famille ou à ses proches. Tout doit être mis en œuvre pour que la personne puisse décider ou, si elle ne le peut pas, puisse participer à la délibération. Cette délibération collective ne doit pas se limiter à un échange entre membres d’un collège de médecins. »

La Croix, 1er juillet 2013. Le Monde, 2 juillet 2013. Comité national consultatif d’éthique, avis n°121 : Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir. 1er juillet 2013. www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/publications/avis_121_0.pdf (texte intégral).