Fragmentation du sommeil
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Une étude prospective de cohorte canadienne, menée par Andrew Lim, de la division de neurologie de l’Université de Toronto, auprès de sept cents personnes âgées vivant à domicile, non atteintes de démence à l’inclusion et suivies pendant 3.3 ans, montre qu’une personne dormant d’un sommeil hautement fragmenté a un risque multiplié par 1.5 de développer une maladie d’Alzheimer, par rapport à une personne ayant un sommeil peu fragmenté.
Lim AS et al. Sleep Fragmentation and the Risk of Incident Alzheimer’s Disease and Cognitive Decline in Older Persons. Sleep 2013; 36(7):1027-1032. www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23814339.